CAPITAL.FR - 13 février - Gleeden, site de rencontres spécialisé dans l'adultère, n'a pas négligé le volet juridique. Afin de se parer contre d’éventuelles poursuites, la direction a consulté plusieurs cabinets d’avocats dans différents pays afin de rédiger les conditions d’utilisation en accord avec les législations locales. Le danger en France ? Que des associations de défense de la famille ou des groupes religieux tentent d’obtenir la fermeture de Gleeden. «Ils pourraient reprocher au site d’inciter au viol de l’article 212 du code civil, qui précise que les époux se doivent mutuellement fidélité», avance Patricia Douieb, avocate spécialiste du droit de la famille. Depuis la création du site, aucune plainte d’internaute n’a encore été enregistrée.
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